CHOISISSEZ SEULEMENT 4 SCÈNES:
1. LA HAINE. Mathieu Kassovitz. 1995. (Drame)
-C'est l'histoire d'un
homme qui tombe d'un immeuble de cinquante étages. Le mec au fur et
à mesure de sa chute il se répète sans cesse pour se rassurer :
« jusqu’ici tout va bien... jusqu’ici tout va bien...
jusqu’ici tout va bien... » Mais l'important c'est pas la
chute, c'est l'atterrissage.
2. CAMPING 2. Fabien Onteniente. 2010. (Comédie)
-Tu as rien contre les
couvert en plastique ?
-Non, j'aime bien, ça
fait vacances.
-Comme je dis toujours :
« Christophe Colomb a découvert l'Amérique, et moi, j'ai des
couverts en plastique »
3. PROFS. Patrick Schulmann. 1985. (Comédie)
-Le club, la balle. Là-bas
le drapeau, le trou. Le but : faire aller la balle dans le trou.
Pour ça : la tête, le corps. Démonstration. . . Pas de
problème particulier ? À vous...
4. BRICE DE NICE. James Huth. 2005. (Comédie)
-Ah, la vache ! Oh,
non ! Oh, non ! Mais comment tu fais pour mettre des
tongues ?
5. LE DÎNER DES CONS. Francis Veber. 1998. (Comédie)
-C'est quoi son numéro ?
- Zéro, un,
quarante-sept, quarante... je vais faire moi-même. Il s'appelle
Juste Leblanc.
-Ah, bon, il n'a pas de
prénom ?
-Je viens de vous le dire:
Juste Leblanc . . . Leblanc c'est son nom et c'est Juste son prénom
. . . Monsieur Pignon, votre prénom à vous c'est François, c'est
juste, non ?
-Oui.
-Eh, ben, lui, c'est
pareil, c'est Juste.
6. LE FABULEUX DESTIN D'AMÉLIE POULAIN. Jean-Pierre Jeunet. 2001. (Drame/Amour)
-Voilà, ma petite Amélie,
vous n'avez pas des os en verre, vous pouvez vous cogner à la vie.
Si vous laissez passer cette chance, alors, avec le temps, c'est
votre cœur qui va devenir aussi sec et cassant que mon squelette.
Alors, allez-y, nom d'un chien !
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